Les sourds profonds qui ont grandi dans l’oralisme pur et dur choisissent souvent d’apprendre la langue des signes à un moment donné, très souvent sur le tard, à 16 ou 35 ans. Sans doute parce qu’on est majeur, qu’on se libère enfin du joug de nos chers parents, qu’on prend enfin conscience de notre personnalité ou bien-être.
Eh bien, avec le temps qui passe, je m’en rends compte de plus en plus souvent. Continuer la lecture